Nous analysons ici deux manières d’écrire la vie des filles à Montréal. L’un à travers l’utilisation de bandes dessinées et l’autre à travers de courtes histoires en prose.
J’ai besoin d’un sujet spectaculaire pour la première video de la chaine de cette nouveaux étape. Pourtant, il n’y as pas d’autre option que la Ville de Montreal.
Apres tout c’est sur ces rues que nos histoires se débrouillent.
Et pour parler de cette ville précieuse, on va nous concentrer sur cette deux livres, en particulier sur deux petites histoires de entre toutes ceux.
Pourquoi seulement deux?
Par ce que on as des choses à faire et je détesterai de gaspille vos temps. Alors, allez ci! « Lets Go! »
On va parler de la BD qui s’appelle « le Bain Saint Denis », écrit et illustré par Boum… Boom? Boúm? Je ne sais pas comment se prononce.
Vous pouvez trouver cet ouvre parmi les pages de l’anthologie des
Bandes Dessinées québécoises qui s’appelle « Les Rues des Montréal ».
De l’autre côté on va se concentrer sur une histoire courte qui s’appelle « Victoria » écrit par Marianne Locht, lequel vous pouviez trouver dans l’anthologie « Historias de Montreal ».
OUI
le livre et toute ses contenus sont écrit en français mais ne vous inquiètes pas. Moi, votre serviette, je serais votre guide.
Alors, premièrement on a besoin d’un petite sommaire de les deux histoires. Les deux histoires abordent le sujet de la transformation et les désires. Mais plus important, il s’agit des histoires qui parlent sur l’enfance.
Dans « Le bain Saint Denis » on suivent Jeannine. Une petite montréalaise qui sorte en famille pour aller au bain. Seulement que pour elle, le bain est un endroit magique. Le bain se transforme en océan au milieu de la ville. Dans cette petite mer, Jeannine vivre une métamorphose en sirène. Néanmoins la transformation est temporaire, car la magique est elle limitée.
Par ailleurs, dans « Victoria » ont suivent une autre petite fille montréalaise, au contraire de Jeannine , Victoria habite à notre époque, et un détaille important, elle n’habite pas avec sa famille biologique parce que elle a souffert de violence domestique. On ne connaît pas les détailles. Pour la petite Victoria sa métamorphose prendre lieu chaque fois qu’elle sorte avec sa nouvelle amie, Isabel et la mère d’Isabel. Victoria ne se transforme pas dans une créature magique, par contre, avec Isabel et sa mère, Victoria devient la nouvelle sœur d’Isabel et elle obtient une nouvelle mère. Néanmoins, juste comme il arrive à Jeannine, la transformation est elle temporaire, car ici aussi, la magique est elle limitée.
Dans les deux histoires nos protagonistes sont elles des enfants à Montréal – et je vous faire un petit parenthèse – Il faut clarifier que pas nécessairement les histoires avec des enfants comme protagonistes sont ils des histoires POUR les enfants. En ajoutant le fait que les enfants doivent peut s’identifier dans la littérature, il n’est pas ordinaire de trouver de la fiction avec des enfants comme le sujet principal.
C’est pour cet raisons que j’ai choisissez ces histoires. Chaque un offre sa propre version de Montréal et il y as des similitudes entre les deux, même si à fin de comptes l’histoire de Victoria est elle une tragédie pendant que l’histoire de Jeannine est un fable humoristique et plus drôle que l’autre.
Avec nos deux histoires les filles transforment l’ordinaire en extraordinaire. Jeannine transforme le bain en un osent expansif pendant qu’elle se transforme en sirène. Autrement, pour Victoria, les sorties avec Isabel et sa mere, tous se transforme en une famille temporaire. Même aussi, Victoria se deviens fille et soeur. Les deux filles transforme le monde et elles se transforme avec le monde.
Néanmoins, nous sommes en territoire de la fiction courte. Et la plus grande regle ou caractéristique de cet genre de fiction ce qu’il doit avoir une épiphanie a la fin de histoire. On a besoin d’une révélation que nous aide a comprendre le monde ou ses personnages, ou que les personnages souffrent un changement permanent, OU ils se rendent compte de quelque chose important et sa vie est-elle change a partir de l’histoire.
Alors, quelle épiphanie on as appris avec Jeannine?
Donc, peut être, pour Jeannine l’eau ce n’est pas quelque chose externe a elle. Autrement it, quand Jeannine se plafond dans l’eau elle peut s’exprimer sa vrai forme. Quelque chose qu’elle amène avec elle toujours, comme on le peut constater quand elle rejoindre sa famille après avoir quitte le bain. L’eau qu’elle laisse âpres c’est partie de Jeannine. Pour elle la bonheur se trouve dans l’eau. Ca c’est explique pourquoi elle ne se sèche pas! L’eau elle permet de être ce qu’elle est deja.
Et c’est ici que j’ose dire que l’histoire de Victoria c’est plus complique que ceux dans les BD. Ce n’est pas pour dire que la prose c’est mieux que la BD, c’est juste plus complique parce que « Victoria » est elle raconte par la mere d’Isabel. C’est ca que complique notre interprétation de Victoria, mais on peut dire aussi que la présence d’un narrateur nos simplifie la vie. C’est vos décision.
En parlent de Victoria, on peut dire qu’il y as de deux épiphanies. Une qui corresponde a la fille protagoniste et une autre en relation avec Isabel. Pour Victoria on apprendre que elle a besoin d’un famille pour compléter sa métamorphoses en fille et sœur. Ici, au contraire de Jeannine, on trouve une fille qui veut s’offrir un transformation. Pour Victoria chaque sortie l’amène proche a ca qu’elle voudrais être. Mais comme j’ai avez vous averti, la magique est limité. Quand Victoria demande la mere d’Isabel de l’adopter on apprend en fin que Victoria manque une famille ideal comme cela qu’elle trouve trouve en Isabel et sa mere…. Dans le même ordre d’idée, on apprendre aussi la révélation d’Isabel quand elle demande a sa mere de refuser Victoria! Dans cet point la mere d’Isabel doit prendre un décision! Bien sur, elle écoute sa fille et le deux prends sa distance de Victoria… et finalement Victoria suivie sa vie dans une institution pour ados comme elle, et Isabel et sa mere essai de ne se sentir pas coupable.
C’est triste non?
Alors, peut être tu te demande toi?… Pourquoi quelqu’un voudrais lire un histoire si triste? Et je vous demande en réponse. Est ce que on peut trouver de la bonheur sachante que au moins Victoria a trouvée des amies comme Isabel et sa mere, même si ce n’était que pour quelques instantes?…
Encore, c’est a vous de décider.
Et alors, mes amies, merci pour avait decide rester jusqu’à’ ici! Rappelez vous que vous pouvez trouver les livres dans votre bibliothèque locaux, sur bibliomontreal ou autrement vous pouvez les acheter et soutenir les artistes de Montreal…
N’oubliez pas de laisser vos recommandations littéraires dans les commentaires!
Merci a tous et buenas noches.
Leave a Reply
You must be logged in to post a comment.